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Informations complémentaires

 

 
  • Informations liées aux rayons X ou gamma

    Quelles complications possibles ?

    Aucun risque n'a pu être démontré chez les patients compte tenu des faibles doses utilisées et des précautions prises pour limiter au strict minimum la zone examinée.

    A titre d'exemple, un cliché radiographique pulmonaire simple correspond à l'exposition moyenne naturelle (soleil) subie lors d'un voyage de 4 heures en avion.

    Toutefois, pour les femmes enceintes, des précautions doivent être prises systématiquement : c'est pourquoi il est important de signaler si vous pouvez être dans ce cas.

     

    Quelles sont les préventions mises en oeuvre ?

    L'exposition des patients à des fins médicales obéit à une règle de bénéfice / risque.

    Les médecins valident les demandes d'examen en se référant au guide des bonnes indications d'examen publié par la FNMR.

    La dose efficace d'exposition délivrée est évaluée annuellement dans le cadre des Niveaux de Référence Diagnostic (arrêté du 12/02/2004)

    Le Centre d'imagerie médicale Jacques Callot a établi un programme de radio protection pour mettre en oeuvre la réglementation relative à la protection des personnes (patients / personnels), ainsi que la réglementation relative aux contrôles qualité machines.

  • Informations liées à l'injection intra veineuse de produit de contraste ou radio actifs

    Une injection de produit de contraste peut être nécessaire pour la réalisation de certains examens.

    Les inconvénients et les risques de l’injection de produit de contraste sont les suivants :

    Une rougeur douloureuse au niveau de la veine dans laquelle les produits ont été injectés peut s’observer ; si cela persiste, prévenez-nous pour mettre en route un traitement de cette irritation veineuse. Celle-ci disparaîtra en quelques jours ;

     

    Lors de la prise de rendez-vous, des précautions particulières vous seront transmises dans les cas suivants :

    • si vous avez une affection sanguine contagieuse,
    • si vous êtes sous anticoagulants,
    • si vous avez une insuffisance rénale.
  • Informations liées aux allergies, et plus spécifiquement aux produits de contraste iodés

    L'allergie à l'iode n'existe pas, c'est un métabolite indispensable à la vie. Par contre, l'allergie aux produits de contraste iodés existe, et est dûe aux molécules associées à l'iode, raison pour laquelle on peut être allergique à un produit iodé et pas à un autre.

    En cas d'allergie connue, merci de rapporter votre bilan allergologique.

    Une injection de produit de contraste iodée peut être nécessaire pour la réalisation de radiographie ou de scanner.

    Quelles complications possibles ?

    - Le produit peut entraîner une impression de chaleur dans tout le corps, ce qui est normal et disparaîtra rapidement.

    - Les nausées et les vomissements sont possibles mais rares surtout si vous avez bien respecté les consignes données lors de la prise de rendez-vous ;

    Des complications imprévisibles comportant un risque vital sont extrêmement rares notamment depuis l’avènement des nouveaux produits de contraste et du respect des contre-indications comme l’allergie grave et l’insuffisance cardiaque sévère.

     

    Lors de la prise de rendez-vous, des précautions particulières et un traitement préventif vous seront transmis dans les cas suivants :

    • si vous êtes allergique aux produits de contraste iodés
    • si vous êtes allergique à certains médicaments ou pommades
    • si vous êtes asthmatique
    • si vous avez mal toléré un examen radiologique
    • les femmes enceintes ou susceptibles de l'être
    • les femmes ayant récemment accouché ou allaitant
  • Informations liées à la fonction rénale

    Dans les jours suivant une injection de produit de contraste iodé, peut survenir une altération de la fonction rénale. La survenue de cette insuffisance rénale est rare en l’absence de facteurs de risque.

    Il est donc nécessaire de dépister notamment chez les patients de plus de 60 ans ces facteurs de risque, qui se traduisent par une élévation de la créatininémie et une diminution de la clairance de la créatinine.

    C'est pourquoi on vous demandera de réaliser, une semaine avant l'examen, une prise de sang afin de vérifier ces facteurs.

    En présence de risque avéré, nous prendrons les mesures appropriées en recherchant une alternative à l’injection de produit de contraste iodé (échographie, IRM).

  • Informations liées au diabète

    Trois problèmes se posent chez le diabétique: le jeûne, l'insuffisance rénale, et les traitements en cours (insuline, antidiabétiques oraux, metformine) :

    - le jeûne expose aux accidents hypoglycémiques.

    - une insuffisance rénale peut être aggravée par l'injection de produit de contraste.

    - la metformine expose au risque d'acidose lactique par diminution de sa clairance rénale en cas de néphropathie induite par le Produit de contraste iodé.

     

    Votre diabète sera sans doute un peu déséquilibré le jour de l’examen, mais le but essentiel est d’éviter toute interaction avec le produit de contraste iodé et toute hypoglycémie.

    Merci de lire attentivement les consignes ci-dessous.

     

    1 - SCANNER - RADIOLOGIE : uniquement les examens réalisés avec injection de produit de contraste iodé.

    Seul le traitement par les dérivés de la metformine (Glucophage®, Glucinan®, Stagid®, sans oublier les génériques) doit être interrompu le jour de l'examen et pour une durée de 48 heures après l'examen.

     

    2 - TOMOSCINTIGRAPHIE MYOCARDIQUE

    A - Vous êtes diabétique sous comprimés: ce paragraphe vous concerne.

    - vous n’avez aucune modification de traitement à envisager pour votre diabète.

    - vous devez prévoir un repas froid pour midi, comme tous les patients, et une collation pour le milieu de la matinée si vous en prenez une habituellement.

     

    B- Vous êtes diabétique sous une ou deux injections d’insuline par jour et vous avez rendez-vous un matin: ce paragraphe vous concerne.

    - vous devez contacter votre médecin traitant (ou votre diabétologue) pour baisser et adapter les doses d’insuline le jour de votre examen. En effet, une épreuve d’effort est nécessaire dans la plupart des cas.

    - vous devez prévoir un repas froid pour midi et une collation pour le milieu de la matinée si vous en prenez une habituellement.

     

    C - Vous êtes diabétique sous une ou deux injections d’insuline et vous avez rendez-vous le mercredi après-midi: ce paragraphe vous concerne.

    - vous devez contacter votre médecin traitant vous diminuer les doses d’insuline.

    - prenez une grosse collation vers 11 heures (toujours sans thé, sans café, sans chocolat, sans coca-cola etc) : par exemple un sandwich au jambon, au fromage…

    - vous devez prévoir également une collation, retardée, en début ou en milieu d’après-midi.

     

    D - Vous êtes diabétique sous trois injections quotidiennes d’insuline ou sous pompe: ce paragraphe vous concerne.

    - l’examen ne peut avoir lieu sans conseil préalable du diabétologue pour organiser au mieux les doses d’insuline sur la journée et la prise des collations en fonction de l’horaire de votre épreuve d’effort (cf paragraphes précédents).

  • Informations liées à un geste invasif : Injection intra articulaire, injection intra rachidienne, ponction

    1 - INJECTION INTRA ARTICULAIRE : Quelles complications possibles ?

    L'arthrographie consiste à injecter à l’aide d’une aiguille un liquide iodé à l’intérieur d’une articulation et à réaliser des clichés radiographiques pour étudier le contenu de l’articulation. Cet examen peut etre associé à un scanner (arthroscanner) ou à une IRM (arthroIRM).

    Après l'examen, vous devrez limiter les mouvements de votre articulation durant les 24 heures suivantes pour éviter la survenue de douleurs ou d’un épanchement (gonflement). Interrompez le sport et la kinésithérapie pendant 48 heures.

    - Il est rarissime qu’un liquide iodé injecté dans une articulation déclenche des réactions allergiques. De plus, celles-ci sont le plus souvent sans conséquence.

    - Il existe un très faible risque d’infection au point de ponction. Nous prenons, bien entendu, toutes les précautions nécessaires pour l’éviter.

    - Des douleurs, un gonflement de l’articulation, de la fièvre dans les jours suivants l’examen doivent vous alerter. Il faut alors nous appeler sans délai, car il peut être urgent de vous donner un traitement (03 83 98 54 44).

     

    2 - INJECTION INTRA RACHIDIENNE : Quelles complications possibles ?

    La saccoradiculographie consiste à opacifier le canal rachidien (centre de la colonne vertébrale). Son but est de rechercher ce qui pourrait comprimer un ou plusieurs nerfs et expliquer vos symptômes.

    Un malaise ou une sensation de malaise peut survenir pendant l'examen, cela est sans gravité mais n'hésitez pas à signaler toute sensation anormale au personnel qui sera prêt de vous.

    Dans les jours qui suivent, des maux de tête, parfois importants, sont possibles. Ceci est devenu rare depuis que l'on utilise des aiguilles extrêmement fines. Dans ce cas, il vous faudra consulter votre médecin ou nous prévenir pour qu'un traitement puisse vous être prescrit pour diminuer ces douleurs.

    Une fièvre et/ou des douleurs importantes pourraient faire craindre une infection. Cette complication est tout à fait exceptionnelle, et nous prenons toutes les précautions pour l'éviter. Elle pourrait être très grave et même vitale si elle n'était pas traitée rapidement. Au moindre doute, vous devez donc nous contacter très rapidement.

     

    3 - PONCTION - BIOPSIE : Quelles complications possibles ?

    Votre médecin a dépisté chez vous une lésion du foie (ou d’un autre organe profond, rein, ganglion, pancréas) dont il importe pour vous de connaître le type (inflammation, infection, tumeur, etc…). Ce diagnostic n’a pas pu être obtenu avec certitude par d’autres examens complémentaires (endoscopie, IRM, scanner).

    Grâce au guidage de l’imagerie (échographie ou scanner), le radiologue va pouvoir ponctionner cette lésion au moyen d’une aiguille fine, introduite par la peau.

    Des effets indésirables sont possibles :

    - Douleur au moment de la ponction : rare et fugace, due au franchissement de la plèvre (l’enveloppe du poumon).

    - Pneumothorax : décollement de la plèvre par de l’air. Survient dans un cas sur 10 environ. En général de faible abondance, ne nécessitant aucun traitement, mais imposant une surveillance plus longue (deux à trois jours) en clinique. Si le pneumothorax est abondant, et mal toléré (essoufflement), un drain de petit calibre peut être posé pour l’évacuer par aspiration.

    - Hémoptysie : le geste peut souvent être suivi de quelques crachats sanglants, normaux, à signaler à l’équipe soignante. Un saignement plus abondant est rarissime. Dans ce cas, l’hémorragie pourrait nécessiter une transfusion de sang ou de dérivés sanguins, voire une intervention chirurgicale.

    - Des complications imprévisibles comportant un risque vital sont extrêmement rares

    Echec de la ponction : dans quelques rares cas, la lésion, surtout quand elle est de petite taille, peut s’échapper, fuir sous l’aiguille et ne pas être « harponnée » par l’aiguille. Dans ce cas, le diagnostic reste inconnu, et peut éventuellement conduire à une nouvelle ponction (avec une autre voie d’abord), ou à un geste chirurgical à visée diagnostique. L’échec n’est connu qu’à la réception du résultat d’analyse, c’est à dire après votre sortie de clinique.

     

    Lors de la prise de rendez-vous, des précautions particulières vous seront transmises dans les cas suivants :

      • si vous avez des risques particuliers de saigner ?
      • si vous avez une maladie du sang ou des saignements fréquents ou prolongés (du nez par exemple) ?
      • si vous prenez un traitement fluidifiant le sang (anticoagulant ou anti-agrégant plaquettaire type Aspirine, Asasantine, Kardegic, Persantine, Plavix, Previscan Sintrom, Solupsan, Ticlid …), ou tout simplement souvent de l’Aspirine contre le mal de tête ?
      • si vous avez eu récemment une infection (fièvre, mal de gorge) ou des soins dentaires ?
      • si vous avez un glaucome (maladie de l'œil) ?
      • si vous avez une maladie de la prostate (hypertrophie bénigne) ?
  • Informations liées à l'injection de produit radio actif (scintigraphie)

    Voici quelques informations utiles pour vous et votre entourage.

     

    Recommandations après un acte diagnostique (examen) de médecine nucléaire utilisant du Tc99m :

    Le Technétium 99m ( Tc99m) utilisé pour la réalisation de votre examen s’élimine rapidement de votre organisme par deux mécanismes :

    - une élimination naturelle de l’activité du produit, par décroissance spontanée

    - une élimination active par votre organisme qui accélère cette élimination naturelle du produit. Celle-ci se fait essentiellement par les urines, et très accessoirement par la salive.

    Le rayonnement restant est pratiquement négligeable 24 heures après l’examen. Afin d’accélérer cette élimination déjà rapide, nous vous recommandons de boire abondamment de l’eau dans les 24 heures qui suivent votre examen, ce qui permettra également d’éviter la stagnation du produit au niveau de la vessie. Lorsque vous allez aux toilettes, il est préférable de tirer deux fois la chasse d’eau et de bien vous savonner les mains.

     

    Attitude à adopter à l’égard des jeunes enfants et des femmes enceintes de votre entourage :

    Bien que l’élimination du produit soit rapide, il est inutile de soumettre les jeunes enfants et les femmes enceintes aux rayonnements que vous émettez, de la même façon qu’un fumeur ne devrait pas imposer la fumée de ses cigarettes à son entourage.

    Nous vous demandons donc de laisser les enfants et femmes enceintes qui vous accompagnent dans la salle d’attente à l’entrée et d’éviter des contacts trop prolongés dans les 24 heures qui suivent votre examen.

    Ne dormez pas la nuit qui suit la réalisation de l’examen avec un enfant dans votre lit.

    Ces recommandations ont pour but d’éviter des contacts inutiles de principe, car aucun effet nocif des rayonnements du Tc 99m, aux doses utilisées pour les examens, n’a été authentifié depuis les nombreuses années d’utilisation en imagerie.

     

    Recommandations pour une femme allaitant :

    L’allaitement doit être suspendu pendant 24 heures, le lait tiré (tire-lait) et jeté. L’allaitement peut reprendre naturellement par la suite.

  • Informations liées à l'injection de dérivés sanguins (scintigraphie)

    La réalisation d’un examen scintigraphique des poumons, du compartiment sanguin, du cœur, des gros vaisseaux ou des voies lymphatiques, nécessite l’utilisation d’un produit à base de dérivés sanguins (albumine humaine) reconstitué avec une solution injectable de technétium 99m Tc.

    L’administration de ce produit n’entraîne pas habituellement d’effet indésirable. Chez un nombre très faible de patients, des réactions de type allergique ont été rapportées : Rougeurs, difficultés respiratoires, somnolence, tachycardie, œdème facial, hypotension, vasodilatation ou collapsus vasculaires. Les réactions sont de courte durée et peuvent être traitées rapidement dans le service de médecine nucléaire où a lieu l’examen.

     

    Quelles complications possibles ?

    Le risque de transmission d’agents infectieux ne peut pas être définitivement exclu lorsque sont administrés des médicaments préparés à partir du sang ou de plasma humain. Ceci s’applique également à des agents qui pourraient engendrer une maladie et dont la nature est jusqu’ici inconnue. Ce risque est cependant limité par :

    - de stricts contrôles effectués lors de la sélection des dons par un entretien médical avec les donneurs et la réalisation de tests de dépistage des principaux marqueurs viraux sur chaque don ;

    - le procédé de préparation de ce produit qui inclut des étapes d’élimination et/ou d’inactivation des virus dont l’efficacité a été établie au moyen de validation virale. L’efficacité de l’élimination et/ou de l’inactivation virale reste cependant limitée vis à vis de certains virus particulièrement résistants (virus non enveloppés), mais aucun cas de contamination virale associé à l’administration d’albumine plasmatique humaine pasteurisée n’a été rapporté. Afin d’éviter d’éventuelles interactions entre plusieurs médicaments, il faut SIGNALER TOUT TRAITEMENT MEDICAMENTEUX EN COURS

  • Informations liées à la réalisation d'une tomoscintigraphie myocardique avec épreuve d'efforts

    Le but de l'examen est de dépister une souffrance du muscle cardiaque à l’effort ou d’évaluer cette souffrance si vous êtes porteur d’une maladie coronarienne connue.

    Vous allez réaliser un test d’effort (sur bicyclette ergométrique) ou recevoir une perfusion d’un médicament qui reproduit les effets de l’effort si vous ne pouvez pas pédaler normalement (ou dans certaines situations).

     

    Le principe du test d’effort est d’augmenter le travail de votre cœur, en augmentant ses besoins. Votre électrocardiogramme et votre tension artérielle seront enregistrés en permanence pour détecter d’éventuelles anomalies. Cette surveillance se prolonge quelques minutes après l’effort.

    Au maximum de l’effort (ou après la perfusion) vous recevrez une injection d’un produit, le MIBI marqué par du Technétium 99m, qui visualise l’irrigation de votre cœur à l’effort. Ce produit n’entraîne aucune réaction particulière (le risque de veinite est rare) et est rapidement éliminé de votre organisme.

     

    A quoi sert votre examen ?

    - A dépister une « ischémie » : c’est la souffrance du cœur liée à une mauvaise irrigation par les artères « coronaires » (les artères du cœur)

    - A apprécier l’importance de cette souffrance pour décider du traitement le plus adapté à votre cas

    - A apprécier les conséquences du rétrécissement connu d’une ou plusieurs des artères du cœur (appelé « sténose coronaire »), sur son irrigation.

    - A apprécier les séquelles d’un infarctus et dépister la persistance d’une « ischémie » associée,

     

    Y a t’il des risques liés à l’épreuve d’effort ? :

    Les risques sont peu fréquents: trouble du rythme cardiaque, malaise, chute, complication articulaire ou musculaire et les complications graves sont très exceptionnelles: infarctus, arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral, décès.

    Il y a plus de risques à méconnaître une ischémie qu’à la dépister, car vous êtes amenés à faire des efforts dans votre vie quotidienne (courir pour prendre un train, un bus, efforts sportifs, jardinage, déménagement, etc.…) . Or une fois la souffrance du cœur dépistée, votre cardiologue pourra vous proposer un traitement qui vous permettra d’effectuer ces efforts en diminuant considérablement les risques.

    L’épreuve d’effort que vous allez réaliser se fera en présence d’un cardiologue, aidé d’un personnel compétent, à proximité d’un matériel de réanimation adapté (selon les normes établies par la Société Française de Cardiologie), vous apportant ainsi les meilleures garanties de traitement immédiat et adapté en cas d’incident ou d’accident. Or il est exceptionnel que vous puissiez bénéficier de pareilles garanties lors d’un accident apparu au cours d’un effort de votre vie quotidienne.

    L’essor de ces techniques de dépistage a ainsi permis de réduire la fréquence des accidents coronariens graves, en détectant les patients à risque, et l’essor des traitements a permis de réduire leurs séquelles dans la majorité des cas.

  • Informations liées au champ magnétique de l'IRM

    L'appareil permettant la réalisation d'une IRM est un aimant très puissant.

     

    Quelles complications possibles ?

    Seul le bruit de l'appareil peut être désagréable ou inquiétant, mais il est tout à fait normal.

    Nous vous demandons avant de vous installer dans l’appareil :

    - de vous démunir de tout objet métallique (monnaie, bijoux, montre, clés, épingles à cheveux...)

    - de retirer vos prothèses dentaires ou auditives,

    - de laisser également dans la salle de déshabillage toutes cartes magnétiques (cartes de crédit, ticket de bus, etc ...)

     

    Cet examen ne peut pas être réalisé si vous êtes porteur d’un pace maker (pile cardiaque).

     

    Des précautions particulières seront prises si vous possédez des antécédents chirurgicaux ou traumatiques, donc prévenez nous :

    • si vous êtes porteur d’une prothèse métallique (Plaque de la colonne vertébrale, prothèse de hanche, valve cardiaque, clips métalliques, stent vasculaire, pontage, cathéter et pompe de chimiothérapie, neurostimulateur, implants de l’oreille…)
    • si vous pensez avoir un corps étranger métallique dans l’œil
    • si vous pouvez être porteur d’un éclat d’obus
    • si vous avez été blessé par balle
  • Prévention des risques

    Les risques des différents examens sont prévenus

    • par une bonne information des facteurs de risques qui vous concernent par vous ou votre médecin traitant
    • par des préparations préalables au besoin (traitement anti allergique, ...)
    • par les vérifications et précautions prises par le personnel avant et pendant la réalisation de votre examen
    • par une surveillance possible au cours de votre séjour dans le centre.

     

    Si des complications survenaient malgré toute la prévention mise en place, nous avons mis à disposition des médecins réalisant votre examen des moyens permettant une prise en charge rapide et efficace :

    • des Chariots d'urgence
    • des personnes qualifiées et formées aux gestes d'urgence et aux brancardage,

    De plus, le Centre peut faire appel à des Médecins urgentistes et/ou réanimateurs de la Polyclinique de Gentilly ou du service d'urgences qui se trouvent à proximité.